L'agence européenne des produits chimiques, l'Echa, a publié son plan d'action pour les trois ans à venir, qui était en préparation depuis l'automne dernier. Les États membres devront ainsi s'atteler à évaluer 120 substances, préoccupantes notamment parce qu'elles sont suspectées d'être cancérogènes ou d'être des perturbateurs endocriniens.
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